Plus rien n’enchante le monde
Insondables sont les flots
Et là contemple les ombres
Il lui dit à demi-mot
Qu’il l’aime et qu’il l’adore
Qu’il l’aime
Mais le chaos du corps
A ses raisons, a ses remords
Et le ciel est sans nuage
Et les jours semblent longs
A perdu son point d’ancrage
Il rentre dans sa maison
Il l’aime, il l’adore
Il l’aime encore
Plus rien n’enchante le monde
Insondables sont les vents
Et là contemple les ombres
Un silence assourdissant
Il l’aime et il l’adore
Il l’aime
Mais le chaos du corps
A ses raisons, a ses remords
Et le ciel est sans nuage
Et les jours sembles longs
Perdu le cœur d’une femme
Et la mort porte son nom
Il l’aime et il l’adore
Il l’aime
Il saignera encore
Jusqu'à sa mort
Sa mort, sa mort, sa mort
Sa mort, sa mort…
Mylene Farmer —