Lyrics
Combien de temps pouvons nous résister?
Face à l'épidémie, ce mal mutant plus vite que la pire des maladies
Une gangrène contrôlée, gentiment dirigée par une main de fer que l’on nomme le
marché
A coup de dés comme dans une partie de risk, les cercles d’initiés jouent les
terroristes
Le monopoly moderne consiste à bâtir, un monde libéral que nous devons trop
souvent subir
Brûlons, brûlons tous les billets verts, détruisons les armes de tous ces
gangsters
Brûlons, brûlons tous les billets verts, refusons le capitalisme de tous ces
faussaires
Détruisons les hôtels rue de la paix, faisons sauter la banque tant qu’on y est
Changeons les règles de ce jeu faussé, je crois bien que maintenant c’est à
nous de jouer
Je suis d’accord, ce rêve est complètement fou
Mais bien moins que ce putain de monde de grippe sous
Où même les syndicalistes mènent, en grande partie
Le même combat que les pires pontes de l’industrie
D’accord en accord ils symbolisent mon désaccord
Manifestement, ma vie ne vaudrait pas de l’or
Mort des petites structures, ils veulent la rigueur, moi je veux l’aventure
Pas de place pour les tout-petits, dans notre économie
Personne ne se soucie de ceux qui rament dans la vie
Merde, arrêtez de nous prendre un peu trop pour des cons
Merde, devons nous vous rappeler le sens du mot
Révolution, .révolution
Brûlons, brûlons tous les billets verts, détruisons les armes de tous ces
gangsters
Brûlons, brûlons tous les billets verts, refusons le capitalisme de tous ces
faussaires
Détruisons les hôtels rue de la paix, faisons sauter la banque tant qu’on y est
Changeons les règles de ce jeu faussé, je crois bien que maintenant c’est à
nous de jouer
Et comme partout dans ce monde devenu fou
Et comme partout ils nous porteront des coups…
Brûlons, brûlons tous les billets verts, détruisons les armes de tous ces
gangsters
Brûlons, brûlons tous les billets verts, refusons le capitalisme de tous ces
faussaires
Détruisons les hôtels rue de la paix, faisons sauter la banque tant qu’on y est
Changeons les règles de ce jeu faussé, je crois bien que maintenant c’est à
nous de jouer