Tout nous porte à frémir
Au désir au plaisir
À lever le verrou
Qui nous retient de tout
Dans la peau du bagnard
Tout nous pousse à vouloir
Vouloir batte les grains
De beauté du destin
Du ponton des marais
Tout nous pousse à pleurer
À endosser la peau
D’un poisson d’un oiseau
Par nos gorges étranglées
Tout nous porte à chanter
Hum hum hum…
Tout nous porte à frémir
Au désir au plaisir
Hum hum hum…
A pousser le verrou qui nous sépare
Qui nous sépare