Je me dois d’un poème en cette journée de novembre à la con
Je me dois d’une lutte fût-elle minuscule
Je me dois d’un crachat
Je me dois d’un éclat
Je me dois d’un souffle sur se monde entier qui se refuse à moi
Je me dois ta conquête
Ca m’aurait plus d'écrire une chanson d’amour qui ne soit pas qu’une douleur
Ca m’aurait plus de pendre a ton cou un ptit sourire de vainqueur
Ptetre même que mon discours aurait changer d’odeur
Et le gens se serait dit tiens pour une fois qu’il chiale pas sa mère celui la Je me dois d’un poème, en cette journée de novembre à la con, a la con